15.8.12
Le dernier stade de la soif
C'est un très grand roman, un de ceux dont seuls les Américains ont le secret. Lorsque l'éditeur nous prévient que Frederick Exley se situe quelque part à la rencontre de Nabokov, Bukowski, Richard Yates et Thomas Bernhard, ce n'est pas une exagération.
C'est aussi le mélange étrange et réussi de l'autofiction européenne et de l'efficacité de la narration américaine.
Vous pouvez lire les premières pages ici.
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Le dernier stade de la soif, Frederick Exley, Paris, Monsieur Toussaint Louverture éditeur, 2011.
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